Actualités / Anciens articles / La participation de la société civile belge à l’Etude mondiale sur les enfants privés de liberté

Cette affirmation repose en effet sur une simple estimation, établie il y a quelques années par l’UNICEF.

Aujourd’hui il y a un réel manque de données générales et ventilées (notamment par âge, genre et nationalité) concernant les enfants privés de liberté en Belgique et dans le monde. Or, la privation de liberté peut avoir de graves impacts sur tous les droits de l’enfant, en affectant notamment son développement ou en le rendant plus vulnérable à la torture et autres traitements inhumains et dégradants. Ainsi, et selon la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant, la privation de liberté d’un enfant ne peut être qu’une mesure de dernier ressort et elle doit être aussi brève que possible.

Dans le but de pallier au manque d’informations relatives à la privation de liberté des enfants et en réponse aux appels émanant de plus de 140 ONG (dont DEI), l’Assemblée Générale des Nations Unies a mandaté le Secrétaire Général des Nations Unies pour faire réaliser une étude mondiale sur les enfants privés de liberté en 2014 (Global Study on Children Deprived of Liberty).

Pour plus d’informations, consultez la page dédiée à la Global Study on Children Deprived of Liberty.