Alors que l’idée actuelle est une augmentation de la délinquance juvénile, ce travail se penche sur les données officielles pour démontrer qu’il n’en est rien. Dès lors que la police est chargée de transmettre aux parquets de la jeunesse, les affaires concernant des mineurs délinquants, ce rapport a consulté les bases de données des années 2006 à 2013 pour comparer les chiffres et en dresser une conclusion. Le nombre de mineurs signalés baisse, l’âge pas.