Crédit: Unsplash / Artyom Kabajev

Vous êtes parents ? Vous travaillez avec des enfants en Belgique ? Nous voulons connaitre votre avis pour créer une campagne de sensibilisation sur les « violences dites éducatives ordinaires », c'est-à-dire les violences utilisées à des fins supposées éducatives. Remplir ce questionnaire vous prendra moins de 10 mins. Merci d'avance !

Pourquoi ?

Nous allons développer une campagne de communication pour sensibiliser et informer les parents et les professionnel·le·s travaillant avec des enfants de l’impact qu’ont les « violences dites éducatives ordinaires » sur les enfants, et du fait que des alternatives et du soutien existent. L’objectif est de sensibiliser et d'accompagner, pas de culpabiliser. Pour développer nos messages, nous souhaitons faire participer des personnes directement concernées à la réflexion : vous.

Qu'entend-on par « violences dites éducatives ordinaires » ?

Chaque enfant (de 0 à 18 ans) a le droit d’être protégé·e contre toute forme de violence physique, psychologique ou verbale (article 19 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant). Tous les enfants ont le droit d’être éduqués de manière bienveillante, sans violence. Ce que nous appelons des « violences dites éducatives ordinaires » (VDEO) sont toutes les violences qui sont habituellement tolérées, et qui ont le plus souvent lieu dans un but perçu comme éducatif. On peut par exemple penser aux cris, aux gestes brusques (empoignades, fessées, pousser violemment…) aux humiliations ou moqueries, aux privations de soins (ne pas changer l’enfant parce que cela fait plusieurs fois qu’un « accident » se produit…)… Il est largement prouvé que l’utilisation de violences dites « éducatives » a des conséquences à court et à long terme sur le développement physique et psychologique de l'enfant. Pourtant, pour de multiples raisons, des violences dites éducatives sont encore pratiquées aujourd’hui.

Votre avis compte !

Nous vous proposons de vous mettre un instant dans la peau de créateur·ices de campagne : si vous deviez faire passer le message à vos ami·e·s, à vos voisin·e·s, aux professionnel·le·s, comment le feriez-vous ? N’hésitez pas à faire preuve de créativité : il n’y a pas de mauvaise idée ! Vos propositions doivent simplement être assez courtes, claires et compréhensibles par un maximum de personnes. Cela vous prendra 10 mins. Alors, partant·e ?

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La thématique vous intéresse ?

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